Après avoir présenté mes Lunettes ED Orion, voici maintenant mon instrument principal qui possède le diamètre le plus important,
Le Dobson Orion T&B XX14i, 356 mm de diamètre et 1650 mm de focale.
- Caractéristiques Techniques :
1. Les avantages :
- Le diamètre
- Facilité d'utilisation
- Collimation stable
- Qualité optique
- Pointage intuitif
- Finition mécanique
- L'aide au pointage Intelliscope très précise (push-to)
2. Les inconvénients :
- Lourd (54 kg !)
- Prend beaucoup de place pour le stockage
- Beaucoup de manutention pour le montage/démontage
- Mouvement en azimut perfectible (mais améliorable facilement, voir ci-dessous)
Mes sources sont les sites de tests de matériel astronomique, les sites web sur l'optique astronomique, les revues spécialisées d'astronomie, les fournisseurs/constructeurs/distributeurs (quand ils veulent bien répondre), les indications fournies sur les boites d'emballage et les notices et dans une moindre mesure les forums de discussions. Une erreur et/ou une omission est donc toujours possible...
Le Dobson Orion T&B XX14i, 356 mm de diamètre et 1650 mm de focale.
- Caractéristiques Techniques :
- Diamètre optique : 356 mm
- Focale : 1650 mm
- F/d : 4.6
- Optique : miroir primaire parabolique/Pyrex
- Barillet : 18 points
- Revêtement protection du miroir primaire : aluminium + dioxyde de silicium
- Petit axe miroir secondaire : 82 mm
- Obstruction secondaire/diamètre : 23 %
- Obstruction secondaire/zone : 5 %
- Poids du tube (sans accessoire) : 28,8 kg
- Poids rocker + base pivotante : 20,2 kg
- Poids Total : 54,5 kg
- Longueur du tube : 154,9 cm
- Magnitude limite stellaire : 14.7
- Pouvoir séparateur : 0.3 secondes d'arc (détails de 0.6 km sur la Lune ou une pièce de 1 € à 14 .1 km)
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Dobson Orion XX14I |
1. Les avantages :
- Le diamètre
- Facilité d'utilisation
- Collimation stable
- Qualité optique
- Pointage intuitif
- Finition mécanique
- L'aide au pointage Intelliscope très précise (push-to)
2. Les inconvénients :
- Lourd (54 kg !)
- Prend beaucoup de place pour le stockage
- Beaucoup de manutention pour le montage/démontage
- Mouvement en azimut perfectible (mais améliorable facilement, voir ci-dessous)
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Orion XX14 I sur le terrain |
Quelques améliorations ont été apportées à mon télescope :
- Changement du Crayford d'origine par un Crayford Moonlite CR-1
- Ajout au Crayford Moonlite d'un serrage annulaire de type Rotolock WO
- Amélioration du mouvement en azimut (objet d'un article)
- Ajout d'un Paracorr Televue Type I comme correcteur de coma.
C'est l'instrument que je sort hélas le moins souvent, beaucoup de manutention et le temps d'installation ont parfois raison de ma motivation pour l'utiliser.
Une météo capricieuse et peu favorable en hiver en région Pays de la Loire qui n'aide pas non plus...
...par contre lorsque je l'utilise, essentiellement pour le ciel profond, il donne des images superbes et détaillées des objets observés.
Mention particulière sur les amas globulaires, les petites nébuleuses planétaires et les galaxies, la résolution due au diamètre de 356 mm est d'une grande efficacité.
C'est un instrument très lumineux et qui peut offrir un champ intéressant pour l'observation des objets étendus comme les Dentelles du Cygne ou la grande nébuleuse d'Orion, avec un filtre de type UHC ou encore mieux OIII, le spectacle est grandiose, un oculaire de 30 mm me donnerait un champ apparent de 1.3° à X55, je lorgne sur un Pentax XW 30 ou à défaut un Televue Panoptic de 27 mm.
La qualité optique est correcte pour un miroir industriel, je peux monter à X500 soit 1.5 le diamètre sans trop de difficulté si le ciel le permet, la mise au point reste précise.
Avec mes oculaires actuels, mes grossissements les plus utilisés vont de X94 à X330 soit de 0.3 à 0.9 le diamètre, au delà j'utilise ma Barlow X2 Orion Shorty plus (fabrication Japonaise, identique à la Celestron Ultima).
Un peu de coma est visible en bord de champ, classique pour un Newton ouvert à 4.6, corrigée efficacement avec mon Paracorr Televue type I.
C'est un instrument agréable à utiliser, la glisse sur les deux axes est douce, précise et sans collage ce qui facilite le suivi des objets observés.
Pour la mise en température du miroir primaire efficace il faut compter environ 1h30, cela dépendra de la différence de température entre le lieu de stockage et l'extérieur.
Dédié à l'observation du ciel profond, il peut se montrer très performant en planétaire et sur la Lune, là aussi les images montrent beaucoup de détails ;-)
...par contre lorsque je l'utilise, essentiellement pour le ciel profond, il donne des images superbes et détaillées des objets observés.
Mention particulière sur les amas globulaires, les petites nébuleuses planétaires et les galaxies, la résolution due au diamètre de 356 mm est d'une grande efficacité.
C'est un instrument très lumineux et qui peut offrir un champ intéressant pour l'observation des objets étendus comme les Dentelles du Cygne ou la grande nébuleuse d'Orion, avec un filtre de type UHC ou encore mieux OIII, le spectacle est grandiose, un oculaire de 30 mm me donnerait un champ apparent de 1.3° à X55, je lorgne sur un Pentax XW 30 ou à défaut un Televue Panoptic de 27 mm.
La qualité optique est correcte pour un miroir industriel, je peux monter à X500 soit 1.5 le diamètre sans trop de difficulté si le ciel le permet, la mise au point reste précise.
Avec mes oculaires actuels, mes grossissements les plus utilisés vont de X94 à X330 soit de 0.3 à 0.9 le diamètre, au delà j'utilise ma Barlow X2 Orion Shorty plus (fabrication Japonaise, identique à la Celestron Ultima).
Un peu de coma est visible en bord de champ, classique pour un Newton ouvert à 4.6, corrigée efficacement avec mon Paracorr Televue type I.
C'est un instrument agréable à utiliser, la glisse sur les deux axes est douce, précise et sans collage ce qui facilite le suivi des objets observés.
Pour la mise en température du miroir primaire efficace il faut compter environ 1h30, cela dépendra de la différence de température entre le lieu de stockage et l'extérieur.
Dédié à l'observation du ciel profond, il peut se montrer très performant en planétaire et sur la Lune, là aussi les images montrent beaucoup de détails ;-)
"Télescope revendu".
Mes sources sont les sites de tests de matériel astronomique, les sites web sur l'optique astronomique, les revues spécialisées d'astronomie, les fournisseurs/constructeurs/distributeurs (quand ils veulent bien répondre), les indications fournies sur les boites d'emballage et les notices et dans une moindre mesure les forums de discussions. Une erreur et/ou une omission est donc toujours possible...